Jacques

Toutes mes réponses sur les forums

4 sujets de 1 à 4 (sur un total de 4)
  • Auteur
    Messages
  • en réponse à : Du collectif à l’association ! #814
    Jacques
    Maître des clés

    L’asso, une affaire qui avance ! Hier soir (24 mai) nous nous sommes retrouvés à quelques-un(e)s pour travailler sur les statuts de ladite assos (Josiane, Ghislaine, Marie-Pierre, Christophe, Claude M, Franck et moi-même).

    Le principe est de faire une collégiale avec un minimum d’adhérents, les ressources étant surtout faites de dons. Cela permettra de garder toujours l’asso au service du collectif.
    Indiscrétion : le nom proposé est « l’Asso-NeT » (celle que l’on actionne pour prévenir…), en version longue « Association Nîmes en Transition ».
    Bouclage prévu lors de la réunion du Collectif le 6 juin.

    en réponse à : Technique : stockage cinétique de l’électricité #321
    Jacques
    Maître des clés

    Oui, Christian, les systèmes de régulation par volant d’inertie ne sont pas nouveaux. Ce qui l’est dans le projet évoqué c’est l’utilisation de béton pour la masse, et l’affirmation que le coût serait alors divisé par 10.
    Le modèle développé par Levisys n’est pas en béton.

    en réponse à : Technique : stockage cinétique de l’électricité #319
    Jacques
    Maître des clés

    Encore un peu… Tout à l’heure je disais :
    Mais on peut envisager que le principe trouve quelques applications de niche dans des conditions particulières (bien que je n’imagine pas lesquelles…)
    La réponse est sur leur site… « ENERGIESTRO vise particulièrement le marché de l’alimentation des relais de télécommunication non raccordés au réseau. » (http://www.energiestro.fr/applications/)

    en réponse à : Technique : stockage cinétique de l’électricité #318
    Jacques
    Maître des clés

    Merci Bruno pour ces commentaires pertinents. Et je rajoute qu’en plus le béton n’est pas un matériau homogène, ce qui complique encore les problèmes d’équilibrage.
    Quelques chiffres (pardon…) pour mettre les idées en place :
    La vitesse évoquée conduit, pour une roue de 1 m de diamètre, à une vitesse de rotation de 6000 t/mn, ce qui est beaucoup pour un engin qui pèserait une ou plusieurs tonnes.
    L’énergie cinétique d’une telle roue de 1 tonne tournant à 6000 t/mn est de l’ordre de 20 kWh, ce qui correspond (en gros) à la consommation journalière de deux familles (sans chauffage ni eau chaude). mais on ne peut pas tout récupérer :

    – plus la vitesse augmente, plus le rendement du moteur sera faible (le principe est qu’en charge, le volant accélère constamment)
    – on n’a sans doute pas intérêt, lors de la récupération d’énergie, à faire descendre trop la vitesse, sinon problèmes de perte de rendement d’une part et de régulation de l’électricité produite, donc mettons qu’on la fera passer de 6000 à 4500 t/mn, ce qui divise à peu près par deux nos 20 kWh
    – si l’énergie est produite par photovoltaïque, ce qui est probable, on pourra donc gérer à la limite l’intermittence jour/nuit, mais en aucun cas envisager du stockage intersaisonnier, sinon on arriverait vite à des masses et des vitesses énormes, sans doute capables de détruire n’importe quel édifice comme l’a expliqué Bruno. En tout cas, personnellement je ne suis pas encore prêt intellectuellement à loger dans ma cave une roue de béton de 1 tonne tournant à 6000 tours…

    Mais on peut envisager que le principe trouve quelques applications de niche dans des conditions particulières (bien que je n’imagine pas lesquelles…)

    La moins mauvaise solution, au niveau d’un réseau, reste encore le pompage associé au returbinage hydroélectrique (STEP), que EDF pratique depuis longtemps (associé au nucléaire difficile à réguler au quotidien). Cette technique sans surprise devrait trouver avec l’éolien et le solaire photovoltaïque un regain d’intérêt.
    Jacques

4 sujets de 1 à 4 (sur un total de 4)