Ce dernier week-end, les conclusions de la Commission citoyenne pour le Climat (les 150 citoyens tirés au sort!) sont venues valider pour l’essentiel la vision d’ensemble et les mesures du Pacte : la Transition écologique ne peut se faire sans justice sociale.
Ce Pacte, initié par 60 organisations nationales (d’Emmaüs à Greenpeace et Attac, de Terre de Liens au Secours Catholique, des Etats Généraux des Migrations à France Nature Environnement,…) répond à un constat : la Transition écologique et solidaire se fera à l’échelle locale (selon le GIEC 50 à 70% des leviers de la Transition sont à l’échelle locale) et ces élections municipales en seront une étape décisive.
C’est bien dès ce mandat municipal que tout doit être mis en place pour la Transition ! A Nîmes, mais aussi à Montpellier, à Sète, à Toulouse, à Marguerittes, à Manduel, à Arpaillagues… Les collectifs porteurs du Pacte en Occitanie se sont réunis et seront vigilants tout au long du mandat à venir.
Une opportunité pour accélérer la transition écologique, démocratique et sociale sur ton territoire ? Le mandat qui va commencer est le dernier à pouvoir mettre en place une vraie Transition écologique, solidaire, citoyenne.
En matière de Climat et de biodiversité, il nous faut « en même temps » gérer l’inévitable et éviter l’ingérable.
Pour soutenir les 32 mesures du Pacte, diffusez sur les réseaux sociaux les vignettes thématiques :
Candidats #DéDé : vous avez jusqu’au 12 juin 2020 pour déposer vos dossiers !
En raison de la crise sanitaire, Nîmes Métropole a décidé de prolonger la durée de l’appel à projets. N’hésitez pas à candidater !
Cette année, avec une dotation de 80 000 € en investissement, Nîmes Métropole souhaite soutenir et accompagner l’innovation au service du développement durable.
En aidant à la création de nouvelles activités, services, produits, procédés ou à l’amélioration d’activités, Nîmes Métropole souhaite contribuer à soutenir les initiatives qui conduiront le territoire vers un développement plus performant, responsable et exemplaire.
Parmi les premiers signataires : Carole Delga (présidente Région Occitanie), Éric Piolle (maire de Grenoble), Priscilla Ludosky (militante Gilets jaunes), Pablo Servigne (ingénieur, essayiste),…
Depuis sa création, le Collectif Citoyens pour le Climat Nîmes s’est donné pour objectif de :
1- sensibiliser les citoyens sur le travail des scientifiques du monde entier, rassemblés sous l’égide de l’ONU au sein du GIEC, qui ont démontré que le Réchauffement climatique était une réalité et qu’il était dû aux activités humaines.
2- faire connaître les conclusions alarmantes de la communauté scientifique, sur le fait que le réchauffement climatique présente un danger majeur pour l’humanité toute entière car il pourrait conduire à rendre la Terre en partie ou en totalité inhabitable.
3 – demander aux pouvoirs publics de prendre toutes les mesures nécessaires et urgentes pour limiter au maximum le réchauffement climatique, et empêcher ainsi la catastrophe annoncée.
4 – mobiliser les citoyens sur les gestes et comportements nécessaires et les encourager à mettre en œuvre toute la pression démocratique possible sur nos dirigeants
Citoyens pour le Climat Nîmes a donc organisé avec le Collectif Nîmes-en-Transition des actions de mobilisations importantes dont 5 Marches pour le Climat pacifiques, ouvertes à toutes et tous, qui ont rassemblé des milliers de personnes sur Nîmes, dans une ambiance à la fois festive et consciente de la gravité des enjeux. Aujourd’hui, des experts du monde entier, des médecins tirent la sonnette d’alarme sur la gravité de la pandémie du coronavirus qui se répand de manière foudroyante et qui menace de provoquer un effondrement du système de santé en France et dans bien d’autres pays du monde, comme il l’a fait en Lombardie.
Citoyens pour le Climat de Nîmes a donc décidé, en responsabilité, de reporter à une date ultérieure la Marche pour le Climat qui était prévue le 14 mars à Nîmes, pour respecter les appels des pouvoirs publics et des autorités de santé, à limiter au maximum toutes les occasions de transmission du virus.
Le Collectif a pris cette décision en plein accord avec le Collectif Nîmes-en-Transition, coorganisateur de la Marche. Cette décision, difficile au regard du travail fait avec enthousiasme et détermination, par un grand nombre de bénévoles des deux collectifs pour préparer la nouvelle marche, s’est néanmoins imposée comme une évidence.
Citoyens pour le Climat et Nîmes-en-Transition s’associent de tout cœur à celles et ceux, personnes ou institutions, qui vont se battre contre le coronavirus et pour l’intérêt général.
Citoyens pour le Climat et Nîmes-en-Transition rappellent néanmoins que le réchauffement climatique et la disparition du vivant sont aujourd’hui et pour les années qui viennent, les plus grands dangers auxquels est confrontée toute l’humanité et, qu’à ce titre, des mesures, toutes aussi puissantes et exceptionnelles que celles mise en œuvre pour lutter contre le coronavirus, doivent être mises en place le plus rapidement possible pour limiter le réchauffement climatique et préserver la vie sur Terre. Cette crise montre les limites de la mondialisation, et impose une mise en question efficace de notre système global.
Ce que nous pouvons faire contre un virus, nous devons le faire pour le climat et la nature : il en va de notre survie !
Bonjour à toutes & tous, salut à Nous, La Terre de Convergence a besoin de vous!!! La Région Occitanie lance un vote citoyen « Ma solution pour le climat » pour mettre en œuvre sur le territoire de nouvelles solutions citoyennes grâce à un budget participatif.
Le projet citoyen “Terre de Convergence” apporte une solution d’action concrète: une terre de 100 hectares préservés, portée par un collectif de citoyens, un espace de sensibilisation active sur les solutions existantes pour faire face à l’urgence climatique.
Face à la faiblesse de l’action du gouvernement
d’Edouard Philippe pour réduire les émissions de gaz à effet de
serre, un millier de scientifiques français appellent à participer
à des actions de désobéissance civile organisées par les
mouvements écologistes.
C’est un appel inédit que vient de publier le
quotidien Le
Monde. Un millier de scientifiques français appellent à la
désobéissance civile. « C’est un pas supplémentaire que
nous franchissons, les appels précédents appelant à une lutte plus
intensive contre les émissions de gaz à effet de serre n’ayant pas
été entendus« , reconnaît Milan Bouchet-Valat, sociologue
à l’Institut national d’études
démographiques (Ined) et l’un des promoteurs du texte.
La pétition met en effet l’accent sur la
dégradation de la situation écologique. La hausse des émissions de
gaz à effet de serre se poursuit alors qu’elle devrait
commencer à baisser et les destructions de milieux naturels et les
menaces sur les espèces végétales et animales s’aggravent. Pour
les auteurs, il ne s’agit donc pas de se contenter de demi-mesures.
C’est un changement complet de système économique et social qui est
prôné. « Continuer à promouvoir des technologies
superflues et énergivores comme la 5G ou la voiture autonome est
irresponsable à l’heure où nos modes de vie doivent évoluer vers
plus de frugalité et où nos efforts collectifs doivent être
concentrés sur la transition écologique et sociale »
est-il notamment écrit dans le manifeste.
Une période transitoire qui voit
la fin d’une croissance continue de l’économie
Les signataires ne font pas du « Greta
Thunberg« . Ils ne reprochent pas au gouvernement français
de ne pas prendre en compte leurs travaux. Ils soulignent simplement
l’urgence des actions à entreprendre pour éviter les conséquences
des modes actuels de consommation. « Nous refusons que les
jeunes d’aujourd’hui et les générations futures aient à payer les
conséquences de la catastrophe sans précédent que nous sommes en
train de préparer et dont les effets se font déjà ressentir.
Lorsqu’un gouvernement renonce sciemment à sa responsabilité de
protéger ses citoyens, il a échoué dans son rôle essentiel »,
assène le texte.
Signataire de l’appel, Dominique Bourg, philosophe
et professeur émérite de l’Université de Lausanne (Suisse) précise
: « Nous sortons d’une période où il fallait toujours
produire plus. Aujourd’hui, il faut produire moins sous peine de
détruire les écosystèmes pour des siècles. Dans cette période
transitoire, notre position paraît empreinte de radicalité alors
qu’elle n’est que normalité au vu des catastrophes écologiques qui
menace l’humanité ».
Les pétitions précédentes comme celle du 13
novembre 2017 où 15.000 scientifiques du monde entier ont alerté
sur l’état de la planète n’ont pas eu d’effets. Celle de novembre
2019 où 11.000 chercheurs rappelaient « l’urgence
climatique » précédait même une COP25
qui s’est malgré tout soldée par un lourd échec diplomatique.
Aussi, ce texte-ci appelle à descendre dans la rue derrière les
mouvements écologistes « à se mobiliser pour exiger des
actes de la part de nos dirigeants politiques et pour changer le
système par le bas dès aujourd’hui ».
Un soutien large à toutes les
associations qui s’opposent pacifiquement à l’inaction
climatique
Une grande partie du texte a été reprise d’une
première pétition publiée en décembre 2018 par le quotidien
anglais The
Guardian où une centaine de chercheurs, universitaires et
entrepreneurs appelaient à soutenir l’action d’Extinction
Rebellion (ER), la toute jeune organisation qui venait de bloquer
pacifiquement les ponts de Londres pour réclamer un sursaut immédiat
contre le changement
climatique. Les propos ont ensuite été traduits et adaptés
dans le quotidien suisseLe
Temps signés par 80 chercheurs et citoyens dénonçant
l’action du gouvernement helvète et soutenant également ER.
La pétition française apporte un soutien plus
large. « Il nous a semblé qu’il fallait inclure d’autres
modes d’actions globaux plus anciens comme ceux portés par Les
Amis de la Terre, Greenpeace
ou Attac aux côtés de ceux
plus récents de Youth for
climate, Action non violente
COP21 et ER » précise Milan Bouchet-Valat. De même,
les mouvements préférant les actions locales de transformation de
l’économie et des rapports sociaux comme Alternatiba
ou Villes
en transition sont cités.
Des scientifiques de tous âges
et de tous domaines
L’appel ne revendique évidemment pas le consensus
de la communauté scientifique. Nombre de chercheurs considèrent en
effet que leur rôle consiste à fournir des résultats
incontestables, libre ensuite aux gouvernants d’en tenir compte ou
pas. Intervenir dans le débat citoyen serait donc outrepasser les
limites de la fonction et mettre en péril sa crédibilité. « Mais
quand on fait un constat objectif d’un péril imminent, ne pas en
faire part au plus grand nombre, c’est de la non-assistance à
personne en danger », rétorque Dominique Bourg.
Un survol de la liste des 1.000 premiers
signataires montre une large diffusion au sein de tous les organismes
de recherche
français et tous les âges sont représentés. Les climatologues
sont présents mais loin d’être majoritaires. L’Institut
national de la recherche agronomique et de l’environnement (Inrae)
est très présent, de même que les laboratoires en écologie et
biologie et des organismes de coopération internationale comme l’IRD
et le CIRAD. Mais on trouve aussi
des chercheurs en sciences numériques, des mathématiciens, des
astrophysiciens, des historiens, des sociologues. Les frontières
entre domaines scientifiques ont donc été dépassées. En partie
grâce à « labo 1point5 »,
un collectif de chercheur qui œuvre pour changer les pratiques
professionnelles des organismes scientifiques et réduire l’empreinte
écologique de la recherche en France. Labo 1point5 n’est pas à
l’origine de la pétition, mais l’initiative a permis des rencontres
amenant à l’appel d’aujourd’hui.
Texte
de l’appel
Nous,
soussignés, représentons des disciplines et domaines académiques
différents. Les vues que nous exprimons ici nous engagent et
n’engagent pas les institutions pour lesquelles nous travaillons.
Quels que soient nos domaines d’expertise, nous faisons tous le
même constat : depuis des décennies, les gouvernements successifs
ont été incapables de mettre en place des actions fortes et rapides
pour faire face à la crise climatique et environnementale dont
l’urgence croît tous les jours. Cette inertie ne peut plus être
tolérée.
Les
observations scientifiques sont incontestables et les catastrophes se
déroulent sous nos yeux. Nous sommes en train de vivre la
6e extinction de masse, plusieurs
dizaines d’espèces disparaissent chaque jour, et les
niveaux de pollution sont alarmants à tous points de vue
(plastiques, pesticides, nitrates, métaux lourds…).
diminuer les émissions mondiales de 7,6% par an
Pour
ne parler que du climat, nous avons déjà dépassé le 1°C de
température supplémentaire par rapport à l’ère préindustrielle,
et la concentration de CO2 dans l’atmosphère n’a jamais été
aussi élevée depuis plusieurs millions d’années. Selon
le rapport
de suivi des émissions 2019 du Programme des Nations unies pour
l’environnement et le développement (PNUE), les engagements
pris par les pays dans le cadre de l’accord de Paris de 2015 nous
placent sur une trajectoire d’au moins +3°C d’ici 2100, et ce à
supposer qu’ils soient respectés. L’objectif de limiter le
réchauffement sous les +1,5°C est désormais hors d’atteinte à
moins de diminuer les émissions mondiales de 7,6% par an, alors
qu’elles ont augmenté de 1,5% par an au cours des dix dernières
années. Chaque degré supplémentaire renforce le risque de dépasser
des points de basculement provoquant une cascade de conséquences
irréversibles (effondrement de la banquise, dégel du pergélisol,
ralentissement des courants océaniques…). Les
études préparatoires au prochain rapport du GIEC (CNRS-CEA-Météo
France) suggèrent que les rapports précédents ont
sous-estimé l’ampleur des changements déjà enclenchés. Un
réchauffement global de plus de 5°C ne peut plus être exclu si
l’emballement actuel des émissions de gaz à effet de serre se
poursuit. À ces niveaux de température, l’habitabilité de la
France serait remise en question par des
niveaux de température et d’humidité provoquant le décès par
hyperthermie.
Les
sociétés humaines ne peuvent continuer à ignorer les conséquences
de leurs activités sur la planète sans en subir les conséquences,
comme l’ont montré de longue date et chaque jour plus clairement
de nombreuses études reflétant le consensus scientifique. Si nous
persistons dans cette voie, le futur de notre espèce est sombre.
nos modes de vie doivent évoluer vers plus de frugalité
Notre
gouvernement se rend complice de cette situation en négligeant le
principe de précaution et en ne reconnaissant pas qu’une
croissance infinie sur une planète aux ressources finies est tout
simplement une impasse. Les objectifs de croissance économique qu’il
défend sont en contradiction totale avec le changement radical de
modèle économique et productif qu’il est indispensable d’engager
sans délai. Les politiques françaises actuelles en matière
climatique et de protection de la biodiversité sont très loin
d’être à la hauteur des enjeux et de l’urgence auxquels nous
faisons face. Loin de confirmer une prétendue opposition entre
écologie et justice sociale, le mouvement des gilets jaunes a
dénoncé à juste titre l’inconséquence et l’hypocrisie de
politiques qui voudraient d’un côté imposer la sobriété aux
citoyens tout en promouvant de l’autre un consumérisme débridé
et un libéralisme économique inégalitaire et prédateur. Continuer
à promouvoir des technologies superflues et énergivores comme la 5G
ou la voiture autonome est irresponsable à l’heure où nos modes
de vie doivent évoluer vers plus de frugalité et où nos efforts
collectifs doivent être concentrés sur la transition écologique et
sociale.
La
prochaine décennie sera décisive pour limiter l’ampleur des
dérèglements à venir. Nous refusons que les jeunes d’aujourd’hui
et les générations futures aient à payer les conséquences de la
catastrophe sans précédent que nous sommes en train de préparer et
dont les effets se font déjà ressentir. Lorsqu’un gouvernement
renonce sciemment à sa responsabilité de protéger ses citoyens, il
a échoué dans son rôle essentiel.
nous appelons à participer aux actions de désobéissance civile menées par les mouvements écologistes, qu’ils soient historiques ou formés plus récemment
En
conséquence, nous appelons à participer aux actions de
désobéissance civile menées par les mouvements écologistes,
qu’ils soient historiques (Amis de la Terre, Attac, Confédération
paysanne, Greenpeace…) ou formés plus récemment (Action
non-violente COP21, Extinction Rebellion, Youth for Climate…). Nous
invitons tous les citoyens, y compris nos collègues scientifiques, à
se mobiliser pour exiger des actes de la part de nos dirigeants
politiques et pour changer le système par le bas dès aujourd’hui.
En agissant individuellement, en se rassemblant au niveau
professionnel ou citoyen local (par exemple en comités de quartier),
ou en rejoignant les associations ou mouvements existants
(Alternatiba, Villes en transition, Alternatives territoriales…),
des marges de manœuvre se dégageront pour faire sauter les verrous
et développer des alternatives.
faire passer les enjeux environnementaux avant les intérêts privés
Nous
demandons par ailleurs aux pouvoirs publics de dire la vérité
concernant la gravité et l’urgence de la situation : notre mode de
vie actuel et la croissance économique ne sont pas compatibles avec
la limitation du dérèglement climatique à des niveaux acceptables.
Nous appelons les responsables politiques nationaux comme locaux à
prendre des mesures immédiates pour réduire véritablement
l’empreinte carbone de la France et stopper l’érosion de la
biodiversité. Nous exhortons également l’exécutif et le
Parlement à faire passer les enjeux environnementaux avant les
intérêts privés en appliquant de manière ambitieuse les
propositions issues de la Convention citoyenne pour le climat et en
prolongeant son mandat pour lui donner un pouvoir de suivi de leur
mise en œuvre.
Un article de Carlos Moreno, après la démission de Nicolas Hulot, évoquant les concepts d’Anthropocène, de Molysmocène, de Capitalocène, et même, tenez-vous bien, de Mégalocène !
La vocation première du CCFD – Terre Solidaire est la lutte contre la faim dans le monde.
Pour nous, être solidaires des pays pauvres , ce n’est pas leur apporter de quoi manger, comme sur un plateau.
C’est agir pour que les gens puissent se nourrir grâce à leur travail, en particulier au travail de la terre et puissent ainsi vivre en hommes dignes et libres.
Mais comment pourraient–ils vivre de leur agriculture dans un climat complètement déréglé ?
Lorsque la pluie tombe trop rarement et trop violemment.
Lorsque les ouragans emportent la terre des champs, les routes et les maisons.
Pour nous, être solidaires des pays pauvres, c’est donc à la fois lutter pour une répartition plus juste des ressources de la Terre et lutter contre les désordres du réchauffement climatique.
Pour nous, être solidaires des pays pauvres, c’est, par exemple, lutter ici, en France, pour que les banques ne financent plus les énergies fossiles.
C’est lutter là-bas, avec nos partenaires syndicalistes agricoles, brésiliens, africains ou indonésiens.
Pour qu’ils aient accès à la terre, à l’eau et aux semences et puissent vivre de leur travail dans une agriculture familiale économe en énergie et en intrants polluants.
Pour nous, être solidaires des pays pauvres, c’est être avec tous ceux qui, ici et là-bas luttent pour un monde de respect et d’amitié.
Respect et amitié des hommes à l’égard de tous les êtres animés et inanimés de la planète.
Respect et amitié des hommes entre eux.
Edmond COURBAUD
Nîmes-en-Transition se fixe pour mission de contribuer à relever les défis liés à l’effondrement global des conditions de la Vie sur la planète Terre.